Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

iconovox

  • Résistance

    Jusqu’à présent, le seul Lacombe un peu connu à Lyon était une ancienne vedette du ballon rond. Le Lacombewebzine,bd,zébra,gratuit,fanzine,bande-dessinée,caricature,xavier lacombe,résistance,iconovox,siné-mensuel,écho des savanes,marianne,dessin,presse,satirique,énigmatique lb dont il est question ici exerce un art qui nécessite des crayons plutôt que des crampons : en effet il est dessinateur de presse, un petit métier d’antan perpétué courageusement par quelques artisans.

    Xavier Lacombe, descendant direct de Reiser, publie une sélection de dessins réalisés au cours des 10 dernières années. Eh oui, il a déjà une jolie petite carrière derrière lui ("Marianne", "Siné Mensuel", "L’Echo des Savanes"…).

    Je vous souhaite de rencontrer le bonhomme car il est à l’image de ses dessins : inspiré, pertinent et souvent drôle. Et puis, signe des grands dessinateurs, il n’a pas la grosse tête.

    Résistance, par Xavier Lacombe, éd. Iconovox, 2018.

    Site internet de l'auteur.

    L'Enigmatique LB

  • Revue de presse BD (230)

    webzine,bd,zébra,gratuit,fanzine,bande-dessinée,revue,presse,hebdomadaire,avril,2017,actualité,wilbur dawbarn,eaten fish,manus,malcolm turnbull,blake et mortimer,edgar jacobs,dargaud,sterne,dessin,françois forcadell,iconovox,siné-mensuel,charlie-hebdo,cabu,reiser,félix

    Le caricaturiste britannique Wilbur Dawbarn dessine régulièrement un poisson en guise de soutien à "Eaten Fish".

    + Un jeune immigré iranien, connu sous le nom de "Eaten Fish", reçoit le soutien de dessinateurs du monde entier depuis qu'il a entamé une grève de la faim pour protester contre ses conditions de détention dans l'île de Manus (depuis 2014), en compagnie de près d'un millier de demandeurs d'asile comme lui.

    "Eaten Fish" s'est plaint de mauvais traitement et de sévices sexuels. Le jeune homme avait dessiné une petite BD pour alerter l'opinion sur son sort et celui de ses compagnons d'infortune. Craignant de mourir, "Eaten Fish" a interrompu sa grève de la faim. Le gouvernement australien de Malcolm Turnbull s'est montré jusqu'ici inflexible.

    + Après avoir étrillé le dernier "Blake & Mortimer", "Le Testament de Williamwebzine,bd,zébra,gratuit,fanzine,bande-dessinée,revue,presse,hebdomadaire,avril,2017,actualité,wilbur dawbarn,eaten fish,manus,malcolm turnbull,blake et mortimer,edgar jacobs,dargaud,sterne,dessin,françois forcadell,iconovox,siné-mensuel,charlie-hebdo,cabu,reiser,félix S." (succès de librairie tiré à plusieurs centaines de milliers d'ex.), "l'Express" évoque la manière dont les albums de "Blake & Mortimer" sont fabriqués. L'entreprise de reprise de cette série d'Edgar Jacobs, fort lucrative, a déjà usé plusieurs bédéastes. L'un d'entre eux est même décédé pendant qu'il dessinait un nouvel opus (R. Sterne), sans qu'un lien de cause à effet ait pu être mis en évidence. Un bouquin, "L'Héritage Jacobs" (Dargaud), traite de cette opération commerciale.

    Le marketing intensif ne suffit pas à expliquer le succès d'une série aussi désuète, plutôt mystérieux ; peut-être est-il dû à l'atmosphère de complot qui règne dans les aventures de "Blake & Mortimer", ainsi que dans la plupart des séries cinématographiques produites aujourd'hui à la chaîne aux Etats-Unis, flirtant avec la paranoïa ambiante ?

    + François Forcadell (agence Iconovox) dans un billet d'humeur intitulé "Quel dessin de presse ?", s'en prend aux associations et sites internet qui mélangent les dessinateurs de presse professionnels et amateurs, les accusant de pourrir le métier : "(...) Problème de ce type d’association, comme d’ailleurs celui de quelques sites et festivals, c’est celui de mélanger allègrement les professionnels qui gagnent leur vie avec ce métier (de plus en plus mal) et la cohorte de dessinateurs "de presse" autoproclamés (surtout depuis le 7 janvier 2015) ne publiant nulle part mais qu’on voit beaucoup sur les réseaux sociaux, et qui, lorsque ils sont sollicités, acceptent des tarifs de parution défiant toute concurrence."

    La presse satirique va mal, c'est entendu ; "Charlie-Hebdo" est l'arbre qui cache la forêt (l'hebdo de Riss est financé par des dons faisant suite au massacre) ; mais il est plutôt mesquin d'accuser les amateurs qui pratiquent le dessin de presse, avec plus ou moins de sérieux, de gâcher la fête.

    Le déclin de la presse satirique n'a pas une cause distincte du déclin de la presse française en général ; les lecteurs ne sont pas stupides au point de ne pas voir qu'on leur vend de la publicité, le plus souvent. Ils boudent les kiosques. Par conséquent les dessinateurs de presse pros et F. Forcadell se préoccupent beaucoup de la liberté d'expression en Iran ou en Russie, mais ils sont assez indifférents au progrès de la censure dans leur propre pays.

    F. Forcadell évoque vaguement "l'inculture des médias" ; il faut préciser que le métier de rédacteur en chef a changé, en même temps que le but assigné aux journaux, d'être désormais des tracts publicitaires et politiques. La presse gratuite distribuée à la sortie du métro est le modèle vers lequel la presse tout entière tend : un produit industriel dans lequel la satire, dessinée ou non, n'a pas sa place. Le succès d'internet auprès des Français vient peut-être de ce que la presse française est la plus nulle au monde ?

    Ajoutons encore ceci : "Hara-Kiri", du temps de son succès dans les années 1970 visait déjà, non pas tant la classe politique que la presse et les journalistes. Le Pr Choron a précisé que sa fameuse Une censurée "Bal tragique à Colombey...", ne visait pas particulièrement de Gaulle ou sa famille, mais la presse française, véritable gabegie de papier imprimé, qui ramène l'écrit au rang de culture orale. Le ministre de l'Intérieur Marcellin, en charge de la censure, était trop con pour le comprendre, mais pas assez pour renouveler contre "Charlie-Hebdo" la sanction qui venait de frapper "Hara-Kiri".

    Si l'on insiste autant sur la dimension satirique de la caricature, c'est parcewebzine,bd,zébra,gratuit,fanzine,bande-dessinée,revue,presse,hebdomadaire,avril,2017,actualité,wilbur dawbarn,eaten fish,manus,malcolm turnbull,blake et mortimer,edgar jacobs,dargaud,sterne,dessin,françois forcadell,iconovox,siné-mensuel,charlie-hebdo,cabu,reiser,félix qu'elle peut avoir une fonction plus vile, polémique ou de propagande (le communiste et censeur J.-P. Sartre parle d'"art engagé" pour dissimuler la fonction religieuse de l'art stalinien, dans la droite ligne de la propagande catholique). La caricature peut aussi être mise au service d'une vengeance privée. Ainsi de quelques caricatures exécutées par la sculpteure Camille Claudel, afin de se venger de son amant Auguste Rodin qu'elle souhaitait épouser; on aperçoit l'une de ces caricatures dans un documentaire (41'50'') consacré principalement à Rodin et à la "Porte de l'Enfer", chef-d'oeuvre inachevé de l'artiste (d'après Dante), dont la plupart des oeuvres célèbres sont extraites... jusqu'à la fameuse statue en pied de Balzac, commandée par la Société des gens de lettres, avant de se rétracter devant le résultat. De fait si Rodin en était fort satisfait, son Balzac a un aspect caricatural, proche de l'art de Daumier (documentaire en replay jusqu'au 07/04 compris).

    + "Siné-Mensuel" d'avril publie en Une un dessin de... Siné. Il faut dire que pour ce type de publication, la Une est capitale pour promouvoir le numéro. Egalement affichiste, Siné excellait dans ce registre (d'où son emploi post-mortem) ; mais aussi Cabu, très polyvalent ; Reiser, avec ses formules cinglantes, faisait de bonnes unes ; ou encore Willem, Wolinski, Gébé (pour les amateurs d'art abstrait)...

    "Charlie-Hebdo" essaie quelques petits nouveaux, afin de remplacer Cabu et Charb, comme Félix dans le dernier numéro (qui ose les crayons de couleur).

    webzine,bd,zébra,gratuit,fanzine,bande-dessinée,revue,presse,hebdomadaire,avril,2017,actualité,wilbur dawbarn,eaten fish,manus,malcolm turnbull,blake et mortimer,edgar jacobs,dargaud,sterne,dessin,françois forcadell,iconovox,siné-mensuel,charlie-hebdo,cabu,reiser,félix

     

  • Revue de presse BD (178)

    webzine,bd,zébra,fanzine,gratuit,bande-dessinée,caricature,revue de presse,février,2016,actualité,tintin,racisme,colonialisme,congo,zaïre,mobutu,amaury auchard,damien glez,ouagadougou,hergé,mobutu,charlie-hebdo

    Dessin de Damien Glez paru dans le "Journal du Jeudi" (Ouagadougou).

    + L'entreprise actuelle de réhabilitation de "Tintin" passe par plusieurs canaux. De manière significative, on voit quelques intellectuels tenter de faire passer l'oeuvre de Hergé pour ce qu'elle n'est pas, à savoir une oeuvre d'art "populaire" ou une mythologie.

    Le populisme et la culture de masse ont rendu difficile la définition de "l'art populaire". On peut exclure "Tintin" de l'art populaire, dans la mesure où il émane de la bourgeoisie belge, et tient un discours pédagogique, fait pour persuader les enfants des bienfaits de la civilisation belge. Hergé s'est approprié peu à peu "Tintin", au fil des albums ; la série vire à l'auto-justification assez creuse, dès lors que Hergé finit par se lasser des valeurs de son milieu, sans toutefois parvenir à se débarrasser de "Tintin" (comme Franquin s'était débarrassé de "Spirou").

    Il est inexact de dire que "Tintin" est une littérature dépourvue de caractère sexuel, comme probablement toute littérature "de genre", en particulier celle destinée aux enfants ; la sexualité, dans "Tintin", est sublimée, ainsi qu'elle l'est dans la littérature ou l'art puritain. La littérature libertine, à caractère explicitement sexuel, a d'une certaine façon plus de recul sur la sexualité que la littérature de Hergé ou la Comtesse de Ségur, son équivalent pour les petites filles. A contrario la culture populaire tourne habituellement le motif sexuel en dérision.

    Amaury Hauchard a rédigé récemment dans "Le Monde" un article sur la réception de "Tintin" au Congo. Celui-là s'avère ambigu puisqu'il montre que les Congolais-Zaïrois, en général, apprécient les aventures de "Tintin au Congo" et n'y voient pas le racisme fustigé par certains ; mais, dans le même temps, l'article explique que "Tintin" a été propagé par le régime dictatorial du maréchal Mobutu. La culture occidentale est donc véhiculée par la dictature au Zaïre et en Afrique ; Riad Sattouf explique même dans "L'Arabe du Futur" (avec un culot invraisemblable), que c'est le cas des valeurs laïques et républicaines.

    L'angle du "racisme", c'est-à-dire de la moraline judéo-chrétienne, est sans doute le pire angle pour critiquer Tintin. Celui-ci occulte que la propagande coloniale, à laquelle "Tintin" participa, présente aussi les populations indigènes colonisées sous un jour favorable, et non seulement péjoratif, afin de mieux convaincre des bienfaits de la colonisation. L'éloge des troupes coloniales composées d'indigènes est parfaitement antiraciste, mais c'est une façon de prolonger sournoisement la propagande colonialiste.

    + On relie un peu vite l'attentat contre "Charlie-Hebdo" en 2015, à la seule "Une" du n°712 de cet hebdomadaire mettant en scène Mahomet, dessinée par Cabu et pensée par Philippe Val. Neuf ans séparent ces deux événements. On peut penser que la répétition des charges de "Charlie-Hebdo" contre les "intégristes musulmans", qui ne furent pas toutes humoristiques, a joué un rôle dans la décision de prendre l'hebdomadaire satirique pour cible.

    Quoi qu'il en soit, le reportage intitulé "Charlie 712, histoire d'une couverture", où la rédaction du journal finit de composer le désormais fameux n°712, fourmille de détails intéressants ; en effet on y apprend pelle-mêle : - que Luz fut réticent à rebondir sur les caricatures du prophète publiées par la presse danoise ; - que Charb était absent (en vacances) lors de l'élaboration de ce n° crucial ; - que Philippe Val se croit "chimiquement pur" (sic) sur le plan éthique (ce qui n'est pas loin d'une forme de fondamentalisme religieux), et investi d'une mission assez nébuleuse, distincte de la satire ; - que Caroline Fourest faisait office d'experte sur les questions religieuses auprès de "Charlie-Hebdo", à peu près la seule femme à prendre la parole dans ce milieu viril ; - que le risque de représailles violentes fut évoqué, certes avec ironie, mais évoqué tout de même ; - que le soutien du ministre de l'Intérieur N. Sarkozy aux caricaturistes ne dérange pas plus que ça des dessinateurs en principe dévoués à faire entendre une voix discordante des rengaines politiques ; - que Wolinski était plus drôle dans la vie que dans ses dessins, et Cabu l'inverse.

    Avec le recul, ce reportage fait paraître le "Charlie-Hebdo" de P. Val une sorte de troufion innocent, la fleur au fusil, embringué dans une guerre à l'échelle mondiale entre l'Occident et ceux qui le haïssent, et dépassé par le choc des propagandes croisées. Ce n'est sans doute pas la première fois qu'un humoriste se retrouve transformé en soldat de première ligne, comme pris dans l'angle mort de son esprit satirique. A aucun moment, ni Philippe Val ni ses dessinateurs ne semblent s'apercevoir du ridicule de cette prétention à la "pureté éthique".

    + L'école Estienne (Paris XIIIe) et la BNF organisent cette année encore le "trophée "Presse Citron" du dessin de presse. Il est possible de concourir jusqu'au 15 mars dans deux catégories, "étudiants" et "professionnels", en envoyant quelques dessins aux organisateurs. Le trophée avait été remis l'année dernière en présence de nombreux dessinateurs de presse réunis sous protection policière.

    Il n'est pas inutile de rappeler ici que les industriels et patrons français s'efforcent d'étouffer la caricature et le dessin de presse depuis la Libération ; ceux-ci doivent en effet surtout leur persistance à de rares titres de presse indépendants, puisque la plupart des titres de la presse française relèvent de la double tutelle de l'Etat et de quelques industriels. Comme le déclin du dessin de presse et de la presse française coïncident, on comprend qu'il ne s'agit pas d'un "effet de mode" comme certains font croire, mais d'une volonté de censure sournoise et efficace.

    + Le site "Iconovox" propose le téléchargement gratuit du "Pire de l'année 2015" en caricatures, à savoir les meilleures caricatures de Cambon, Soulcié, Berth, Deligne... pour ne citer que quelques-uns des "poulains" de François Forcadell.

    webzine,bd,zébra,fanzine,gratuit,bande-dessinée,caricature,revue de presse,février,2016,actualité,tintin,racisme,colonialisme,congo,zaïre,mobutu,amaury auchard,damien glez,ouagadougou,hergé,charlie-hebdo,philippe val,charb,charlie 712,mahomet,cabu,wolinski,caroline fourest,luz,école estienne,presse-citron,bnf,iconovox,françois forcadell,soulcié,berth,deligne,michel cambon,urtikan.net,caricature

    Dessin de Michel Cambon (pour Urtikan.net)

  • Revue de presse BD (51)

     

    webzine,bd,gratuit,bande-dessinée,fanzine,zébra,revue de presse,hebdomadaire,51,illustration,jean jullien,mariage,françois forcadell,raymond savignac,rétro,blogueur,iconovox,dessin,presse,azimuth,anarchiste,web,wolinski,charb,pasamonik,guerre,walter benjamin,actuabd,prostituée,chester brown,esclavage,esthétique,éthique


    + L'engouement pour le mariage est "rétro" en diable, comme les illustrations de Jean Jullien, qui rappellent l'affichiste des années 50 Raymond Savignac. Bientôt la moustache et le képi seront de nouveau dans le vent, qui sait ?

    + Le blogueur François Forcadell (Iconovox) râle tous azimuths contre la disparition du dessin de presse ; "(...) le dessin de presse voit éclore une nuée de dessinateurs qui, lorsqu'ils ne plagient pas des graphismes déjà existants, ne s'embarrassent d'aucun talent pour paraître, sans jeu de mot." On ne reprochera pas à Forcadell de râler, mais de se contredire, puisqu'il fait par ailleurs grief à la presse d'être de plus en plus fermée, si ce n'est hostile, au dessin de presse. Le web autorise donc ce que la presse ne permet plus. Le fait des dessinateurs de presse qui dessinent "vaguement" n'est pas nouveau: que je sache, Wolinski ou Charb ne sont pas nés de la dernière pluie.

    Puisque Forcadell suggère la comparaison avec une autre époque, plus riche en dessins de presse et en publications impertinentes, j'observe pour ma part la disparition des gazettes anarchistes ou sans étiquette politique. Cela peut expliquer en partie le désintérêt du public pour ce qui revient à une partie de ping-pong "gauche-droite".

    + D. Pasamonik ose un thème intéressant dans son webzine Actuabd: l'embellissement de la guerre par la bande-dessinée, et cite quelques exemples probants de matériel de propagande. La proposition de Walter Benjamin citée, de "politiser l'art" pour contrecarrer l'esthétique guerrière, en revanche, sonne comme une blague, puisque aucune politique ne peut se passer du soutien des armes. Proclamer la guerre "éthique" revient d'ailleurs exactement au même que la rendre "esthétique"; ces deux notions sont indissociables. De W. Benjamin, je préfère: "Quand les prostituées s'appelleront "travailleuses du sexe", alors le travail sera devenu un esclavage.", opposable au "23 Prostituées" de Chester Brown.

    + Sans doute pour montrer que l'amour est une corrida, les organisateurs du dernier Salon de la BD de Nîmes avaient prévu d'installer leur expo. sur la BD érotique au toril des arènes de la ville.

    + Le dessin de la semaine est aussi de Jean Jullien, extrait du blog tumblr "News of the Times"; il suggère une idée du mariage un peu moins édifiante que la précédente...

    webzine,bd,gratuit,bande-dessinée,fanzine,zébra,revue de presse,hebdomadaire,51,illustration,jean jullien,mariage,françois forcadell,raymond savignac,rétro,blogueur,iconovox,dessin,presse,azimuth,anarchiste,web,wolinski,charb,pasamonik,guerre,walter benjamin,actuabd,prostituée,chester brown,esclavage,esthétique,éthique,salon,toril,érotique,corrida,amour,nîmes,news of the times,blog,tumblr


  • Revue de presse (4)

     fanzine,zébra,bd,revue de presse,bande-dessinée,illustration,boulet,festival de cannes,dessin de presse,strip,olivier mimran,françois forcadell,iconovox,nine antico,florence foresti,platipus,six pieds sous terre,glénat

     

    1. Boulet met sur son blog les croquis du Festival de Cannes que "France-Inter" lui a commandés : ça change des photos officielles (mai 2012).

    2. Pourquoi et comment les strips de BD ont disparu des journaux français, selon Olivier Mimran (répercuté par F. Forcadell) (mai 2012)

    3. Les insultes sont parfois mieux choisies que les compliments : ainsi, Nine Antico est élevée au rang de "Florence Foresti de la bande-dessinée" par Nantes-actu. N'ayant jamais lu Nine Antico, j'ignore si c'est mérité.

    4. "Six-pieds-sous-terre", ex-fanzine devenu maison d'édition, comme Glénat auparavant (en moins grosse), et dont l'emblème est un platipus, fête ses vingt ans. En même temps, six pieds sous terre pendant vingt ans, vaudrait peut-être mieux les achever que de leur souhaiter leur anniversaire, non ?

    5. Enfin, une revue de presse internationale dessinée, avec des dessins albanais, turc, allemands (mai 2012).

    Voilà, c'est tout pour cette fois.