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  • Elections, piège à c.

    par BOB MORAN

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    Version britannique du fameux slogan de "Charlie-Hebdo" (canal historique), naguère illustré par Reiser ; le confinement totalitaire de 2020, pour tenter de préserver le service public hospitalier de l'effondrement, a choqué une partie de l'opinion publique au pays de George Orwell.

  • Revue de presse BD 2024 (115)

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    (Vous la recevrez directement tous les quinze jours dans votre boîte e-mail/sans pub ni pièce jointe.)

    - Au programme de la quinzaine (16-30 juin) :  1. Biopic de Kokoschka par Max Vento ; 2. Ben Vautier, fils de pub ? 3. L'histoire dramatique de Marion Larat par l'humoriste Ch. Binet ; 4. L'art eucharistique de Van Gogh, par Hugh Welchman (rediffusion) ; 5. Caricatures fraîches par Morten Morland, Bob Moran, Guy Venables, Salch, Micaël & Zombi.

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    O. Kokoschka, par Max Vento (Ed. Steinkis).

  • Plafond de verre

    Caricature par ZOMBI

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  • Coup de poker

    Caricature par ZOMBI

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  • L'Offre politique

    Le taux de participation d'environ 50% (25 millions de votants) aux élections européennes paraît élevé, compte tenu de la démonstration récentes par les Gilets jaunes de l'usage du scrutin comme une nasse. On doit compléter cette démonstration par le constat de la "neutralisation" des partis d'extrême-gauche et d'extrême-droite au niveau européen, c'est-à-dire de l'alternative qu'ils représentent pour leurs électeurs ; Marine Le Pen ne fait peur qu'à ceux qui sont conditionnés par les médias de masse à craindre un produit politique pasteurisé.

    Le drame des migrants qui se noient par centaines en tentant de traverser la Méditerranée ou la Manche est avant tout la conséquence de la politique économique européenne ; l'hypocrisie des candidats est complète à ce sujet : l'extrême-droite fait de l'immigration une menace, et l'extrême-gauche fait de l'extrême-droite une menace, si bien que la politique économique européenne n'est pas ou peu remise en question. La propagande des institutions européennes, diffusée par les services publics, présente l'Union européenne - sans rire - comme une protection contre les conséquences néfastes de la mondialisation.

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  • Trait d'humour

    par MARC SCHMITT

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  • C'est quoi Trump ?

    L'américanisation des institutions politiques s'impose dorénavant aux Français ; ils étaient ainsi convoqués hier à une élection qui ne changera pas la donne à Bruxelles, quel qu'en soit le vainqueur. Jordan Bardella, qui faisait cette course à l’échalote en tête, s'était empressé, dès l’entame de sa campagne, de prêter allégeance à l'OTAN pour rassurer ses sponsors. Naguère endetté auprès de la Russie de V. Poutine, le parti de Marine Le Pen se devait de montrer «patte blanche» pour éviter la diabolisation médiatique.

    Depuis 2020, la Commission européenne apparaît nettement comme un court-circuit politique peu démocratique, une méthode pour tenir l'opinion publique éloignée des grandes décisions économiques et stratégiques. Il est difficile de ne pas faire le lien entre ce repli démocratique et le krach mondial de 2008 ; d’abord parce que la Grèce et l’Italie ont été placées en redressement judiciaire par Bruxelles peu après le krach ; l'histoire du XXe siècle montre, de surcroît, que les grandes crises économiques engendrent, presque mécaniquement, des régimes autoritaires. Chaque ébranlement majeur de l’économie capitaliste a été suivi, aux Etats-Unis, cela depuis le XIXe siècle, dans une nation dont l’unité est fragile, de mouvements insurrectionnels importants.

    Quel est le rapport avec Donald Trump, dira-t-on ? Le phénomène Trump a quelques points communs avec la réaction des mouvements souverainistes à la mise sous tutelle bruxelloise, rejetée par une partie de l’opinion publique, sans résultat politique pour l’instant : le souverainisme du président hongrois, Victor Orban, ou encore celui de Georgia Meloni en Italie, apparaissent en effet comme de simples postures. L’impuissance d’Alexis Tsipras en Grèce à s’opposer à la tutelle technocratique complète le tableau de l’inefficacité du souverainisme, qu’il soit de droite ou de gauche. Quant au Brexit des Anglais, il n’en fait pas moins des alliés privilégiés des Etats-Unis en Europe : de facto le Royaume-Uni demeure dans l’Union européenne sous tutelle de l’OTAN.

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