
(Une par Zombi)
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(Une par Zombi)
Il est assez évident que l'étiquette de "leader populiste" s'applique au président Donald Trump, réélu après une interruption de quatre ans. La caractéristique d'un tel "leader", qu'il soit de gauche ou de droite, est de savoir répondre par des mots à l'attente d'une partie significative de la population, pas forcément majoritaire, mais la plus dynamique sur le plan politique.
Le désir des électeurs de Joe Biden et Kamala Harris était un désir "en creux", puisqu'il s'agissait surtout de résister à Donald Trump, présenté comme un épouvantail. Vous êtes déjà allé revoir un film d'épouvante ?
La position où se trouvait le parti démocrate de conduire une guerre contre la Russie et l'Iran a complètement inhibé Kamala Harris.
Caricature par ZOMBI

Les Gilets jaunes doivent-ils se réjouir de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle, quatre ans après sa défaite in extremis face à Joe Biden ?
Quelques-uns le font et l'expriment sur les réseaux sociaux. Il est vrai que Donald Trump affrontait l'artillerie des médias oligarchiques, que les Gilets jaunes ont affrontée, eux, "à mains nues", en plus des 35.000 CRS de la garde prétorienne de l'Elysée. Il est vrai que Donald Trump est le candidat d'une classe moyenne américaine privée de représentant, et qui s'interroge sur la nécessité des raids de l'aviation américaine un peu partout dans le monde, pour assurer la défense du "monde libre", suivant un scénario digne d'Hollywood.
Caricature par ZOMBI

Caricature par ZOMBI

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