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La vieille réputation d'arnaqueurs des juifs polonais ne risque pas de s'améliorer avec Madoff ; déjà dans le conte "Les deux bassets" par Alphonse Allais.
Dans le domaine financier, la frontière entre l'escroquerie et les opérations légales est tellement ténue que Bernard Madoff a le droit, me semble-t-il, à la plus grande indulgence.
Hélas ce genre d'indulgence n'est plus à vendre! (une fois mort foutu comme dit ma concierge!)
Même ses héritiers (si on peut dire) ne peuvent pas la demander, l'indulgence, vu qu'ils sont tous suicidés les uns après les autres ; tout ça pour du pognon ! "Vanité des vanités, tout n'est que vanité en ce bas monde..." comme a dit un Juif fameux (qui n'était pas polonais).
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La vieille réputation d'arnaqueurs des juifs polonais ne risque pas de s'améliorer avec Madoff ; déjà dans le conte "Les deux bassets" par Alphonse Allais.
Dans le domaine financier, la frontière entre l'escroquerie et les opérations légales est tellement ténue que Bernard Madoff a le droit, me semble-t-il, à la plus grande indulgence.
Hélas ce genre d'indulgence n'est plus à vendre! (une fois mort foutu comme dit ma concierge!)
Même ses héritiers (si on peut dire) ne peuvent pas la demander, l'indulgence, vu qu'ils sont tous suicidés les uns après les autres ; tout ça pour du pognon ! "Vanité des vanités, tout n'est que vanité en ce bas monde..." comme a dit un Juif fameux (qui n'était pas polonais).